La langue qui nous habite...

La langue qui nous habite...
La langue qui nous habite...calligraphie encres de chine et gouache de Odile Pierron

dimanche 15 septembre 2013

Atelier d'écriture du 13 septembre 2013

Pourquoi la nuit tombe-t-elle ? parce que j'aime les mots.
Première chose...

Pourquoi joue-t-on ? parce que l'huile diminue les frottements ! ...Donc voici nos productions, une rentrée dynamique, de l'huile dans les rouages !


Quelle a été la rencontre capitale de votre vie ?
Je dirais plutôt une de mes rencontres les plus capitales de ma Vie !
Elle est d'ailleurs significative du passage à l'âge adulte de tout
citoyen de ce pays. Elle s'est produite lorsque j'ai eu 18 ans. Oh,
certains d'entre vous vont d'emblée s'imaginer qu'il était beau, qu'il
avait 20 ans, et d'autres mièvreries du  genre "il sentait bon le sable
chaud"...
Erreur grave.
En fait ma rencontre capitale d' l'époque s'est faite avec la Sécu...une
institution des années 80 qu'on pratique peu à cet âge là. On ignore
tout de son immensité , de son inertie, de son absurdité, de l'ineptie
de ses formulaires, des heures à attendre dans la mauvaise file, du
numéro à 50 chiffres jamais retenu... J'ai découvert l'hygiaphone, cette
espèce d'ouverture du guichet en forme de meurtrière horizontale, situé
au bas d'une immense fenêtre vitrée , une sorte d'aquarium dans lequel
les employés s'entassaient...
Rencontre capitale ? Pas vraiment. Depuis, j'ai divorcé d'avec la Sécu.
Et je n'ai jamais regretté d'être à l'origine de la rupture.
Claire


Dans la catégorie "liste", listez tous les mercis qui vous viennent à l'esprit :
Merci à tous ceux qui m'ont aidé, qui m'ont soigné, qui m'ont
encouragé. Sans eux que serai-je devenu au milieu de la tristesse et du
désespoir ?
Merci à ma famille et à tous ceux que je n'ai pas cités
Joachim


Merci aux journaux pleins de mauvaises nouvelles,
merci aux télés et radios débiles,
merci aux discours politiques manichéens,
ils m'ont fait comprendre que cela n'empêche pas le bonheur !
Maurice


Une odeur de menthe très puissante viendrait assaillir mes narines.
Un bruissement de feuilles, constant, assourdirait mes oreilles.
Autour de moi, je ne verrais que racines, branches, lianes à l'assaut des constructions humaines.
Et en levant les yeux, je m'apercevrais que même la lune serait devenue verte.
Juan-Carlos

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