La langue qui nous habite...

La langue qui nous habite...
La langue qui nous habite...calligraphie encres de chine et gouache de Odile Pierron

mercredi 9 janvier 2013

Atelier d'écriture du 7 janvier 2013

Dans la nature, il y a le rectangle, dit-on, il est vertical comme le mât de cocagne. Horizontale la surface de l'eau au bord des plages. Horizontal le ciel au-dessus mais les nuages dans le ciel peuvent être aussi bien à tendance horizontale ou à tendance verticale. On dit que l'atmosphère est le produit d'une poussée verticale ; voyons, ce soir, c'est la reprise, mon esprit se sent vertical pour produire des mots à l'horizontal... Oh la la, je diverge ; la demande est de décrire : la petite flaque d'eau ou la mare à canards est horizontale ainsi que la fameuse ligne d'horizon et sur le petit bateau à voiles, le mât est vertical.
Marie Jeanne


do, ré mi, fa sol, la si do..
Domine, gne, ministre fabuleux de Dieu, soleil de la terre, sire des cieux.
Louis


A mon sens, l'ennui naquit un jour d'uniformité. C'est pour cette raison que je n'aime pas isoler une forme, discriminer une figure au dépens de sa voisine, discréditer une surface par rapport une autre. Moi, les formes, je les aime rondes quand elles sont harmonieuses, carrées lorsqu'elles sont d'équerre, régulières quand elles sont équilatérales. Mais surtout, moi, je les aime lorsque, réunies, les lignes dessinent des ensembles et que les arrondies atténuent les angles.
François

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