La langue qui nous habite...

La langue qui nous habite...
La langue qui nous habite...calligraphie encres de chine et gouache de Odile Pierron

dimanche 16 juin 2013

Atelier d'écriture du 10 juin 2013



La compréhension :
Ce qu’il faut comprendre et c’est fondamental, c’est que les gens doivent comprendre qu’il leur faut apprendre à comprendre. Les gens doivent apprendre la compréhension, je vais vous donner des cours pour que vous compreniez mieux :
Dans la phrase moi, je suis au-dessus de moi, il faut comprendre que la personne se trouve au-delà d’elle-même au point même qu’elle ne se comprend pas, ce qui est très grave. Si la main est profondément blessée comme vous le dit le médecin il s’agit de comprendre les conséquences et non pas les causes ou alors seulement pour agir en conséquence. Vous comprenez ? Et si quelqu’un s’exclame : Quel beau tableau !
Il n’y a rien d’autre à comprendre que le tableau lui plait sauf s’il n’a pas compris qu’il s’agit d’une fenêtre. Et si la fontaine se trouve deux rues plus loin alors vous avez compris où vous étiez. La compréhension c’est comme le sens de l’orientation, plus vous vous orientez et plus vous pouvez vous efforcez de ne pas trop faire d’efforts.
Angela



Qui a tué la vieille dame ?
 La vieille dame était très coquette mais où sont passé ses lunettes ? Les voilà, elles sont à coté en mille morceaux, avec des mouchoirs pour les essuyer. Le miroir est cassé comme les lunettes il n’y a que son chéquier qui n’est pas en miettes. La vieille dame a voulu se regarder elle a vu que ses lunettes étaient mouillées on lui a tendu des mouchoirs pour les essuyer mais c’était une ruse pour mieux l’étouffer. Le chéquier est tombé le voleur a voulu le saisir il est évident que c’est son plaisir. Un pique pocket peut être, non mais oui, son banquier !
Angela

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