La langue qui nous habite...

La langue qui nous habite...
La langue qui nous habite...calligraphie encres de chine et gouache de Odile Pierron

mardi 29 octobre 2013

Atelier d'écriture du 25 octobre 2013

Avec beaucoup de précautions, soucieux de ne pas faire le moindre bruit, je m'avançai sur la terrasse sur la pointe des pieds, le vieux fusil Winchester qui me vient de mon grand-père serré entre les mains.
Une silhouette sombre se déplaça dans les fourrés sur ma droite. Redoutant une nouvelle incursion d'un sanglier, je fis feu au jugé.
Un miaulement terrible se fit entendre. Il s'agissait malheureusement du chat noir de ma voisine qui voulait traverser mon jardin pour y chasser les souris.
Une crise cardiaque abrégea l'existence de cette dame de 95 ans.
Juan


Je lui voue ma plus grande haine Ce fichu bestiau n'a plus intérêt à
se ramener dans le coin. J'ai repéré son point de passage sous la
haie. Cette nuit, cette saleté va se glisser sans le savoir dans un
tuyau piégé, équipé d'une trappe. J'ai confectionné cette petite ruse
ignoble, tirée de mon plus pur génie. Une fois piégé, j'y mettrai le
feu. Non mais ... chez moi c'est chez moi !
Claire 

Le chat mâle de couleur noire d'une masse de 5 kgs traverse le jarin sur 5 mètre 45 à la vitesse de 20kms/h, en prenant un cap 270, grâce à ses oreilles capables e capter des ultrasons jusqu'à une fréquence de 30 khz. Ayant repéré une souris, il engage un virage serré sur sa gauche pour prendre un cap 180 ; en une seconde, sa vitesse atteint une vitesse de 12 m/s. L'objectif est atteint, 500 ms plus tard, la proie est neutralisée.
Mo

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